Que peut-il bien y avoir
derrière l’univers ?
D’autres univers, une mer
cosmique, la maison des dieux, un pingouin géant ? Que l’on
soit dans le fini ou dans l’infini, pour nos médiocres cerveaux
humains, dans les deux cas, cela n’a pas de sens, les deux sont
absurdes.
Nous ne pouvons les concevoir,
les appréhender, les conceptualiser, au risque de devenir fou. Et
pourtant se cachent bien là notre destin et le défi des générations
futures ; nos descendants, à force d’acharnement, auront
peut-être une réponse, un début de levée de voile, une forme de
brèche.
Nous, bien sûr, nous serons
morts depuis longtemps mais nous y aurons contribué, légère
consolation pour nos esprits pourrissants.
Malgré cela on peut tout
imaginer, la spéculation est un devoir et en mesurer la crédibilité,
c’est secondaire mais salvateur.
Notre prison est immense et
confortable mais bien réelle et à terme relativement pesante.
Dépendant de nos sauts de puce, de planète en planète, d’étoile
en étoile et un jour lointain de galaxie en galaxie.
Repousser nos limites et les
frontières deviendra une habitude, une insatiabilité et nous ne
pouvons admettre le dernier mur, la structure à abattre.
Le grand Tout à beau être en
expansion, nos propulseurs le rattraperont et ce sera le dépassement
ou le rebond. L’inconnu ou le renvoi.
Il y a quelque chose, j’en ai
l’intuition, une entité, une intelligence, un verbe.
J’en étais là de mes
réflexions métaphysiques quand mes deux clients approchèrent.
Je vous recontacte
prochainement.
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